Voilà un an que Catherine Orban a investi dans un vélo électrique.
«Entre le parking, la circulation dans Genève et la consommation d’essence, je voulais utiliser ma voiture le moins possible. En plus, j’habite dans un coin peu accessible par le train ou les transports en commun. La solution du vélo me semblait une bonne idée pour des raisons écologique, économique et pratique. Mais je ne voulais pas arriver en nage au travail!», explique-t-elle.
 
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